Mémento Mars 2020

Le parcours Alphalive

En 2017 nous avons relancé les parcours Alphalive. Depuis, nous avons vécu cinq parcours au rythme de deux par année. Deux autres parcours Alphalive jeunes ont également eu lieu dans le cadre du programme pour les ados. Le prochain débute le 4 mars prochain.

Pourquoi donc parler d’Alphalive dans un édito ?

J’aimerais vous présenter ce que nous y vivons. Ce n’est pas juste un outil qui transmet les bases de la foi chrétienne ; c’est un processus qui permet aux gens de découvrir et de développer une relation avec Jésus. Nous avons vu de nombreux participants découvrir la foi chrétienne et grandir dans cette foi et dans leurs dons. Ils développent ainsi un esprit de service, certains intègrent l’église, comme nous l’avons entendu dans le témoignage de plusieurs baptisés.

Alphalive fonctionne bien pour plusieurs raisons : premièrement le sens de l’accueil car l’accent est mis sur le relationnel, au-travers d’un repas. Ensuite, la pédagogie utilisée : les enseignements sont compréhensibles par le plus grand nombre. Enfin, les groupes de discussion donnent l’occasion de poser ses questions en toute liberté et dans la confiance.

Les valeurs véhiculées à Alphalive nous permettent de nous connecter avec de nouvelles personnes et de les gagner pour Christ. C’est le début de l’aventure, il y a encore du travail pour les amener à avoir une foi solide et mature, mais le processus est enclenché.

Jésus, avec ses disciples, a vécu quelque chose de similaire. Il s’est connecté à la foule, il a attiré à lui, il a « gagné » ses disciples pour ensuite les édifier, les former et les envoyer.

Une telle démarche est nécessaire à la croissance de l’Église. Je souhaite et je prie que nous puissions le saisir et le vivre dans l’ensemble de notre église.

Luc 15.10 nous dit que « les anges se réjouissent de chaque pécheur qui se repent». Nous pouvons expérimenter cette joie avec Alphalive, mais nous voulons également voir des personnes être «à la mesure de la stature parfaite de Christ » (Eph. 4.13) en leur permettant d’être accompagnées dans cette marche.

Ce n’est pas juste une bonne idée, c’est notre vocation !

Emmanuel Voeffray